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Edouard « Siren » Asghar | Trouble usually finds me

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Siren
Disc Jockey Envoûteur
Siren
Messages : 75
Date d'inscription : 31/08/2020
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Lun 28 Sep - 18:55
Edouard « Siren » Asghar
“George smiles to himself, with entire self-satisfaction. Yes, I am crazy, he thinks. That is my secret; my strength.”
― Christopher Isherwood, A Single Man

Ton pseudo : Mawness
Comment as-tu trouvé le forum : FROM (FOR) THE QUEEN !
Ton Fuseau Horaire : Québec, Canada
Est-ce ton premier compte : Oui
Voulez-vous une aide a l'intégration ? Ça devrait aller, nice idea tho !
Voulez-vous rejoindre un rp déjà en route ? I’m gonna make my own rp with blackjack and hookers !

Moi MAWNESS déclare avoir parfaitement lu et pris connaissance du règlement du forum. Je suis au courant qu'en m'inscrivant ici, il est probable que mon personnage se retrouve en fâcheuse position. Et que si par malheur cela doit arriver, le staff doit me consulter pour prendre une décision (incluant une potentielle mort du personnage)



Nom et Prénom Edouard Asghar Surnom Siren. Créature onirique qui devient cauchemardesque, Persuasion qui berce d’illusions. Age 35 ans Profession DJ et Présentateur de la radio The Wave Orientation Sexuelle Pansexuel État Civil Le célibat lui colle à la peau, son coeur errant trop souvent, faisant de l’oeil à trop de passions, à trop d’obsessions chronophages, son affection se divisant entre l’entiereté de ses proches. Son amour étant trop disparate pour se concentrer sur une seule âme, il est entier dans ses relations et donne des bouts de son coeur à ses amis, donne des bouts de son être à ses arts et ses rêves. Lieu de naissance Dunsmuir lieu de vie Il ne quitte plus Dunsmuir. Il entretien, à son égard, amour et haine. Le quartier est pour lui espoir comme désillusion. Il forme autour d’Edouard une sécurité bancale, créé pour lui l’illusion de n’être qu’une silhouette anonyme. Pourtant, il craint toujours les conséquences d’un oeil attentif l’effleurant trop longtemps, comme s’il ne pouvait se convaincre de sa propre mascarade. Son appartement passe inaperçu, ressemble à n’importe quel logement du coin. Groupe Ace Organisation Membre Fondateur de The Wave avatar Rami Malek Crédit doom days
Intelligent -  Méfiant -  Plaisantin -  Vif -  Déterminé -  Franc -  Anxieux -  Awkward -  Tête en l’air -  Touchant -  Maladroit -  Rebelle -  Artiste maudit -  Poissard - Trop confiant ou aucunement - Passionné - Entier - Sensible - Joueur





Obsession

L’Obsession, l’obsession, l’obsession. Insistant murmure qui caresse son esprit, qui effleure sans cesse ses pensées. Quand Siren s’intéresse, il s’intéresse passionnément, il s’intéresse à la folie. Il s’investit aveuglément dans ses activités du moment, comme dans son travail. S’il est pris d’un élan artistique, il peut disparaître. Devenir un spectre voguant entre le studio de The Wave et son appartement. Se faire muet, s’isoler de ses relations pour ne se concentrer que sur son projet. Et ses obsessions varient, perdurent quelques semaines avant d’être remplacées, comme si elles n’avaient jamais existées.

Si l’une d’elle est trop exigeante, elle peut le rendre dangereux pour lui-même. Il peut tout oublier, s’oublier lui-même et oublier même ses besoins de base. Oublier de manger, de se laver. Ou simplement refuser de le faire, puisque cela lui prendrait trop de temps, trop de ce temps qu’il veut consacrer à sa nouvelle dévotion.
Il n’en est arrivé à ce point qu’une fois, pour l’instant, alors qu’il vivait encore avec sa mère et cherchait à s’évader du monde entier.
Au quotidien, ses obsessions ressemblent surtout à des passions chronophages, qu’il peut prioriser à ses engagements, à ses devoirs, à ses relations. Qui peuvent le pousser à s’isoler, à se concentrer sur elles sans donner de nouvelles à ses proches. Il a perdu ainsi plusieurs amis, même si ceux qui le connaissent le mieux se sont habitués à ses excentricités. Pour certains, ceux-ci se sont mis à l’attendre patiemment. Parfois même à manifester de l’intérêt ou à le feindre, allant jusqu’à s’impliquer dans ses lubies pour une poignée d’entre eux.

Ses idées fixes le freinent aussi dans ses relations. Siren doute être déjà tombé réellement amoureux et craint de tels sentiments, ayant l’impression, vu sa façon d’agir envers tout ce qui le fait vibrer, qu’il serait capable d’une certaine toxicité passionnelle. Il est aussi très lent à tisser des liens d’amitié, malgré le fait qu’il puisse subitement s’intéresser à quelqu’un en particulier et avoir en objectif de l’aborder, de se lier amicalement à lui. Il ne sait jamais s’il pourrait se blesser lui-même ou, pire, blesser l’autre, en cherchant abusivement sa compagnie.
Elles sont, aussi, parfois la cause de son anxiété, insufflant dans ses poumons des peurs d’échec, des peurs de se perdre lui-même dans ses oeuvres et actions, de s’oublier définitivement…




Quel est votre mutation ? Persuasion. Ses mots doux, inlassablement répétés, s’imposent à votre esprit, encore et encore. Lentement, ils se font une place, deviennent de plus en plus probables, de plus en plus tangibles et tracent, peu à peu, les lignes de votre propre réalité. De la réalité qu’il vous a dicté.
Le tout débute souvent par un jeu, par un défi.  Un simple pari glissé dans une conversation, une bête insinuation. Puis, il devra insister, introduire son fait dans diverses conversations, dans plusieurs contextes. Et, peu à peu, l’affirmation fera son chemin jusqu’à votre esprit. Le tout sera plus facile, évidemment, si vous êtes déjà liés à lui, si vous lui faites un maximum confiance. Le processus peut donc prendre plusieurs mois, comme plusieurs jours.

Quel est votre point faible ? À force de sans cesse surveiller ses arrières, Siren a développé quelques tendances à l’anxiété. Il a peur du pire, évite certains endroits de la ville, se cache en permanence. Il était, déjà, naturellement peu doué lors d’interactions sociales ; cherchant parfois ses mots, voguant entre une franchise trop tranchée, choquante et un malaise presque silencieux. Se retrouvant souvent dans les extrêmes, toujours trop ou jamais assez.
Dans le même sens, il se retrouve ainsi, à avoir une confiance en lui vacillante. Un jour, il se voit comme le Maître du Monde, déblatère que sa radio fera l’histoire, qu’elle sera mémorable pour des générations. Le lendemain, il se roule en boule sous une couverture, dans son appartement, mangeant nouilles instantanées et ruminant sa médiocrité.
Faiblesse plus tangible, plus accessible, plus évidente ; sa mère est toujours en vie. Elle habite en ce moment dans une maison de retraite, à Dunsmuir. Si mère et fils ont pu refuser de concert les offres du gouvernement, l’argent et l’appartement de luxe,  sans la moindre conséquence, Siren doit quand même se tenir à carreau, éviter d’utiliser son don de façon trop indiscrète ou nuisible. Malgré ses rêves de liberté et de rébellion, il continue de cacher son pouvoir, de cacher son métier, de se fondre dans le décor pour jouer le rôle du citoyen modèle. Il protège sa mère, comme il l’a toujours fait ; ses choix ayant parsemé son âme d’une certaine culpabilité, malgré leur accord. La pension du gouvernement aurait pu lui offrir une fin de vie beaucoup plus confortable.

Comment vivez-vous votre particularité ? Il apparaît humain, très humain, Edouard. Avec ses maladresses, avec ses conflits intérieurs, avec ses difficultés à aborder son prochain quand il ne le connaît pas. Le regard des gens ne s’emplit donc que d’empathie, que d’incrédulité. Indulgence ou pitié. S’il ne passe pas toujours inaperçu, il est cependant difficile de se douter qu’il fait partie des fortunés de la loterie du Wild Cards. Lui, par contre, s’imagine être un éléphant. S’imagine que tout le monde sait, en un regard, ce qu’il est, qui il est. Ce qu’il a créé. Il évite la solitude, il évite certains coins du quartier qui l’a vu naître. Il se terre comme un rat.
Il est partagé quant à lui-même, cependant. Son propre avis variant. Il est impressionné, soufflé en imaginant tout ce que sa capacité pourrait lui permettre de faire. Il en est effrayé, aussi. Ayant peur de ne pas résister, peur qu’un jour l’envie de réagir au gouvernement ne devienne une obsession. Qu’il soit puni ; ou pire, que sa mère soit utilisé contre lui. Il se considère parfois chanceux, parfois malchanceux. Il est parfois plein de morgue, parfois honteux.

Comment voyez-vous Les autres groupes Les Deuces le font rire, l’amusent. Il les apprécie, les voit comme des gens qui peuvent, en partie, le comprendre.. S’il en venait à leur parler de sa nature, évidemment. Taquin, il serait, en général, tenté de les inciter à utiliser leurs pouvoirs, voir leurs effets ridicules ou de les charrier gentiment. Il n’est que bienveillance envers eux, pourtant, et agirait ainsi plus en ami ou en grand frère qu’avec de mauvaises intentions.

Il craint les Jokers. Les évite en général. Non seulement pour leur physique repoussant, non seulement pour leur sale réputation injustifiée, mais surtout car il se sent mal. Quand il les croise, il sait qu’il aurait pu être à leur place, il sait qu’ils auraient pu être à la sienne. Que tout n’a été que simple chance. Sur un coup du destin, il a tout gagné alors qu’eux ont tout perdu. Et, moralement, cela le pousse à se remettre en question, à se sentir tel un imposteur, à culpabiliser sur ce que personne n’a mérité, Aces comme Jokers. Il se retrouve dans une position inconfortable alors que sa psychée le torture. Ces mutants sont pour lui un dur retour à la réalité devant laquelle il se ferme les yeux, pour ne pas se sentir mal de ses privilèges. Il aimerait sûrement les aider, essayer de redorer leur image aux yeux de la population, mais aura besoin d’un travail sur lui-même, de s’ouvrir sur leur monde avant d’y arriver.

Il n’a pas réellement d’avis fixe sur les Nats. Il les envie un peu, parfois, de ne pas avoir l’attention du gouvernement. De ne pas avoir à toujours regarder par dessus leur épaule, à toujours surveiller leurs propres faits et gestes. Plusieurs de ses amis sont parmis eux, et parfois, leurs vies lui semblent plus calmes que la sienne ; ne serait-ce que ses collaborateurs à The Wave, qui peuvent vivre sans problème à la Crevette Royale. Il n’a aucune animosité envers eux, cependant.



Métro Boulot Dodo : Peu matinal, il ne se réveille pas au chant des oiseaux, mais à l’agression de son alarme. Il est pourtant toujours motivé à aller animer sa radio, contribuer à son évolution et il arrive assez facilement à se botter les fesses. En général, il réussi à éviter de reporter son réveil et à se lever dès les premiers bruits stridents du réveille-matin. Il ne petit-déjeune que s’il a des muffins ou des pâtisseries, ne se prépare jamais de céréales ou de rôties. Même s’il rêve bien souvent de crêpes et de gaufres, il n’a pratiquement jamais le temps de cuisiner en matinée. Siren a préféré se lever le plus tard possible et se contenter de son indispensable café. Et, néophyte en la matière, il ne sait reconnaître un bon café que s’il est capable de le boire noir, si le goût ne lui hérisse pas le palais. Sinon, il le mélange à tout ce qui est sucré. Sucre blanc, vanille, tout. En quantités à faire rougir de colère n’importe quel vrai amateur de caféine.

Edouard le prend généralement pour emporter et, avant de quitter son appartement, il téléphone Ciel, lui demande où se trouve la Crevette Royale et les informe qu’il s’en approche. Quand le navire est loin ou qu’il ne s’y rend pas, il se sert de l’appel pour prendre des nouvelles, pour guider les membres de son équipe au besoin, pour savoir un peu ce qu’ils ont prévu pour la radio durant la journée.
En chemin, il vérifie ses arrières environ trois fois toutes les cinq minutes. Il se balade généralement avec un grand pull, capuche sur la tête, évitant les foules et se terrant comme un rat.

À la radio, il anime quelques émissions, participe à d’autres, gère les nouveaux projets et nouveaux collègues. Et embête affectueusement tous les gens présents, surtout.

Il essaie, en général, d’aller voir sa mère tous les jours avant de rentrer chez lui. Et, une fois à la maison, il rejoue à ses jeux vidéos préférés ou veille à travailler sur son dernier projet artistique, qui durera quelques semaines et se terminera avant qu’il ne l’aie fini.

Sa journée type change complètement lorsqu’il se concentre sur quelque chose et elle devient simple ; Manger. Vaquer à l’objet de son obsession. Donner des nouvelles à Ciel. Passer un coup de fil à la résidence de sa mère. Parfois dormir.

Spiritualité :  Il ne vénère pas grand chose, Siren. Il clamera même qu’il ne croit pas en grand chose. Pourtant, il éprouve une certaine admiration, une certaine crainte pour l'entièreté des créatures et personnages des légendes urbaines d’Harroch. Il se méfie. Si certaines histoires lui semblent moins crédible, elles lui effleurent l’esprit malgré tout. Il se dit que les êtres qu’elles mettent en scène seraient sans doute en colère de savoir qu’il conteste leur existence.
Il croit aussi que l’on récolte ce que l’on sème, croit en une sorte de karma qui s’étale sur toutes les existences futures et antérieures. Et il croit, surtout, qu’il devait être un sacré connard dans le passé pour s’attirer autant d’emmerdes dans sa vie actuelle.

Instinct de Survie : Du déni. Beaucoup de déni. Et de la paranoïa. Un peu de paranoïa. Siren essaie de passer inaperçu, d’éviter d’être reconnu. Il a l’impression d’être un livre ouvert, l’impression que le gouvernement peut deviner ses intentions et ses pensées en une simple oeillade. Ses habitudes de paria lui sont donc utiles pour tous les autres dangers dont l’île est truffée. Aimant sa routine et ayant, en parfait citadin, l’impression que le reste de l’île est encore plus risqué que Dunsmuir, il s’aventure assez rarement en dehors de la ville. La faune sauvage et les mythes de la campagne ne le rassurent pas. La cité, elle, est son monde, son univers depuis sa naissance. Il connaît ses recoins, il connaît ses secrets ; ou a, du moins, l’impression de les connaître. Il sait quels raccourcis emprunter, quelles rues éviter, il sait s’y fondre et s’y terrer. Et, en face à face, si l’As ne sait aucunement se battre, il sait parler, négocier, attendrir. Persuader. Il essaiera toujours de se tirer d’une situation par la ruse, s’il n’a pas réussi à la fuir ou l’éviter.



(01.) Pendant une bonne période de temps, il a vécu avec sa mère et a veillé sur elle du mieux qu’il a pu pour compenser leur refus des avantages gouvernementaux. Cependant, atteinte d’une démence, les compétences bancales du fils sont rapidement devenues insuffisantes pour assurer son bien-être et sa sécurité. Il a dû alors se résoudre à lui trouver un logement dans une résidence adaptée, malheureusement peu confortable puisqu’il doit faire avec ses propres moyens.  (02.) Siren vit dans un appartement minuscule, juste assez de place pour deux. Il a malgré tout pris un/e colocataire pour l’aider à payer, pour garder le plus d’argent possible à investir dans les besoins de sa mère. Il l’aime bien, espère en faire une amitié, mais il surveille ses arrières, évite de trop en dévoiler sur ses occupations professionnelles. Il partage ses passions éphémères, cependant. Ses jeux vidéos, ses tas de lecture sur un seul sujet, ses créations artistiques inachevées. Une fois une personne de confiance, peut-être qu’il pourra lui parler de The Wave. Mais il est partagé entre l’affection et le doute. (03.) Il essaie depuis un moment de produire sa propre musique, il la passe d’ailleurs parfois sur sa radio, mais, soit elle ne se popularise pas, soit on la remarque mais un événement perturbateur change la donne, rendant son succès impossible. Chaque fois. (04.) Dans ses temps libres, il fait un peu de peinture, avec du matériel aberrant, vieux, qu’il possédait quand il était plus jeune. Par moment, il utilise des objets insolites à défaut de pouvoir s’acheter mieux, comme des patates coupées en deux. Évidemment, si une oeuvre le passionne trop, il peut lui accorder des heures et des heures qui lui seront à jamais perdues. Il a réussi à en vendre une, une fois, cependant, à une tante éloignée de sa famille maternelle. Il en a eu une trentaine de dollars. (05.) En temps normal, Siren se retrouve à l’arcade une fois par semaine, parfois seul, parfois avec des amis, pour tester quelques jeux. Lorsque l’un d’entre eux l’obsède, il peut s’y retrouver plusieurs heures par jour, à essayer de le terminer et d’en comprendre tous les mécanismes. (06.) À la sortie du jeu Frogue, il a pris une semaine de vacances pour rester chez lui, s’isoler complètement et jouer compulsivement jusqu’à le terminer, le recommençant de multiples fois. Il est, depuis, adepte des quelques jeux Frogue-like ayant commencé à sortir, même s’ils ne sont jamais aussi satisfaisants que l’original.  (07.) Ayant erré nombre et nombre de fois dans ses tréfonds étant gamin, il connait Dunsmuir comme sa poche. Ses meilleurs recoins comme ses pires. Il sait aussi exactement où se cacher, où cacher un ami, où cacher un cadavre (on ne sait jamais, quand on pense toujours trop).  (08.) Il a aussi tagué de nombreuses fois ses murs, par envies de liberté ou envies d’exprimer son art. Il essaie en général d’y glisser un message. D’encouragement, de changement. De motiver les foules à évoluer. Ciel l’a accompagné plusieurs fois, surveillant ses arrières, se retrouvant dans les mêmes emmerdes à cause de lui. La plupart d’entre eux se sont fait effacés ; les murs désormais vierges n’ont conservé de ses dessins et de ses mots que des souvenirs. Il y a un carré rouge, qu’il avait dessiné, dans un coin éloigné des rues principales, dans une ruelle un peu sombre, qui est resté. Les gens le prennent pour une réelle apparition de légende. Quand il l’a réalisé, il a eu des migraines pendant une semaine, comme s’il en était puni. Parfois, elles lui reviennent à des moments aléatoires.  (09.) Lors de ses errances nocturnes dans la ville, très souvent à l’arcade de son quartier, il lui est arrivé quelques fois de prendre le métro très tard pour rentrer chez lui. Il s’est retrouvé, à deux reprises, seul, devant la dernière rame et, à deux reprises, il Les a vus. Des visages macabres, des regards vides, fixés sur lui, qui semblaient l’observer, le lire entièrement. Cette vision lui a fait froid dans le dos, et il a passé de longues minutes, de longues heures, de longs jours, à se sentir observé ; sa tendance naturelle à craindre les regards accentuant sans doute la chose.  Même si ce phénomène est rare, avec sa poisse habituelle, il a choisit de réduire fortement les risques et, depuis, il se déplace très souvent à pieds dans la ville lorsque vient la nuit. Il a aussi, un peu plus récemment, retapé la vieille moto de son père avec l’aide de ses amis pour l’utiliser. Il l’apprécie désormais et la conduit régulièrement. En plus, elle est petite. Et, s’il est possible de faire un peu de place pour un proche, il est, heureusement difficile d’en avoir assez pour un éventuel autostoppeur... (10.) Malgré son malaise en présence des Jokers, Siren a toujours voulu assister à un concert d’Ace of Spades. Il essaie en vain de traquer ses événements, les endroits de ses sorties publiques, mais généralement, arrive toujours un peu trop tôt, ou trop tard. S’il ne se retrouve pas au bon endroit, au mauvais moment, il se retrouve au mauvais endroit au bon moment. Il aimerait en savoir plus sur lui, partager ses connaissances avec ses auditeurs et contribuer à propager les valeurs de l’idole, qu’il admire, au final, beaucoup.



Ce qui fait battre ton coeur Siren veut faire grandir sa radio, encore, toujours, la faire prendre de plus en plus d’ampleur. Il veut que les gens sachent, et pour cela, il doit savoir aussi. Il est curieux, cherche des réponses sur tout ; les mystères, le gouvernement… Il veut donner une voix au peuple, lui permettre de donner ses opinions et de s’informer sur tout ce qui se passe à Harroch. Il aimerait, bien sûr, plus égoïstement, pouvoir vivre d’une de ses passions et assurer de meilleurs soins à sa mère par la même occasion.





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